Une toute nouvelle activité pour découvrir la ville d’Alma fait son arrivée cet été. Vélo Culture permettra, du 20 juillet au 18 août, de découvrir les richesses culturelles de la municipalité, tout en profitant du plein air à vélo.
Au cours d’une randonnée de 4,9km, les participants accompagnés d’une guide sillonneront les rues d’Alma afin d’en apprendre plus sur l’histoire, la culture et le patrimoine de la ville.
« Durant la sortie d’environ 1h30, on se promène à vélo dans les rues de l’île Sainte-Anne, du quartier Riverbend et de Naudville. Nous faisons plusieurs arrêts durant ce parcours afin de nous arrêter sur des sites historiques pour en apprendre plus sur ceux-ci, leur histoire et l’empreinte qu’ils ont laissée aujourd’hui », mentionne la guide de Vélo Culture, Laurie Lapointe.
Les participants en apprendront plus, entre autres, sur le tout premier habitant d’Alma, sur l’histoire de la rivière Petite Décharge et même sur les maisons du quartier Riverbend.
Accessibilité
Cette nouvelle activité demeure très accessible à tous. C’est convivial, même pour les petites familles.
Il n’y a seulement qu’au début du trajet, qui débute à la Chapelle de l’île Sainte-Anne, que les participants devront gravir une pente de difficulté modérée. Le reste du trajet est très facile à parcourir.
De plus, comme il y a de nombreux arrêts sur des sites historiques, l’activité est très peu exigeante. Les arrêts permettent à tous de pouvoir reprendre leur souffle.
Réservations
Les sorties auront lieu tous les jeudis après-midi et les vendredis matin, du 20 juillet au 18 août.
Les réservations, qui peuvent se faire directement sur le site web de Vélo Culture, sont obligatoires. L’activité est totalement gratuite. Les participants doivent seulement arriver avec leur vélo.
Les groupes sont cependant limités à 15 personnes.
« Lors de l’annonce officielle en juin de cette nouvelle activité, nous n’avons eu que de bons commentaires. Et à quelques jours du lancement, nous avons déjà des réservations, donc nous sommes vraiment heureux », conclut la responsable du projet, Karine Gagné-Plourde.